Les salarié-es d’IGN ont appris par un mail envoyé par erreur la fermeture du site de REIMS, des agence de Paris Opéra et Lyon.
L’entreprise Hollandaise perçoit pourtant des fonds publics par le biais du Crédit d’Impôts Compétitivité Emploi et a annoncé en février une hausse de ses résultats de 16 %.
Dans le même temps les salarié-es de REIMS ont reçu les félicitations de la Direction pour leurs excellents résultats.
Derrière ING il y a un fond de pension. Ces financiers en veulent toujours plus, leur cupidité est insatiable. Leur objectif : des dividendes, encore des dividendes ! ! !
Ces stratégies désastreuses font que les salarié-es sont la variable d’ajustement pour réaliser les économies attendues par le groupe.
Après 2 jours de grève, les discussions avec la Direction reprennent.
Les salarié-es ont décidé de reprendre le travail mais restent vigilants quant aux négociations. Ils n’hésiteront pas à se remettre en grève si la direction ne répond pas favorablement à leurs justes revendications.